Vous savez, nous avons tous nos
plaisirs coupables. Il est inutile de le nier, il y a certains films
plutôt maladroits et clichés (pour ne pas dire parfois mauvais) qui,
pourtant, possèdent une grande place dans nos cœurs. Forever
Young est ce genre de comédie-romantique. Pas qu'il soit mauvais, mais
disons qu'il remplit bien les autres critères énumérés!
Pourtant, oui, je trouve tout de même ce long-métrage totalement charmant et
il me faudrait plus d'une vie avant d'être tanné de le revoir!
Nous sommes en 1939. Du moins, pas pour longtemps. Ne pouvant plus supporter de voir sa femme dans le coma suite à un accident, le pilote Daniel McCormick accepte de participer à l'expérience de cryogénisation de son ami. Son corps est donc congelé dans une machine à très basse température comme l'expérience le demande. La seule contrainte de McCormick est de tout arrêter et le décongeler lorsque sa femme ira mieux, si son état ne se détériore pas. Pourtant, ce n'est qu'en 1992 que le corps du pilote sera involontairement décongelé par deux enfants, soit près de 50ans plus tard!
Steve Miner est un réalisateur que j'ai toujours apprécié pour sa filmographie horrifique incluant des sequels incontournables du slasher movie tels que Friday The 13th Part II, Part III ainsi que Halloween H2O: 20 Years Later. Malgré tout, je n'avais encore rien découvert de ce réalisateur parmi ses films non-horrifiques. Du moins, c'est ce que je croyais jusqu'à ce que j'apprenne qu'il a quelque chose à voir avec Forever Young! J'ai toujours aimé ce film, mais jamais je n'aurais cru que ça pouvait venir du même homme qui a nous a offert le tueur en série Jason Voorhees que nous connaissons aujourd'hui. Disons que c'est plutôt surprenant à découvrir pour quelqu'un qui s'était habitué aux boogeymen!
Pourtant, Forever Young s'avère être une excellente comédie-romantique. Certes, aussi kitsch et prévisible que toutes les autres, mais celle-ci possède un je-ne-sais-quoi de captivant. Forever Young est définitivement un film touchant qui nuance parfaitement le drame de l'humour. Je ne garantie pas ici que l'on pleure toutes les larmes de son corps tout en éclatant de rire! C'est à prendre avec des pincettes. Disons simplement que ce long-métrage sait présenter les choses. Particulièrement avec la merveilleuse vie amoureuse du jeune couple qui est présentée au tout début!
En faite, là où Forever Young marque beaucoup de points, c'est justement dans l'efficacité avec laquelle le réalisateur montre ce qu'il y a à montrer, sans tomber dans l'excès. Jamais le film ne s'éternise dans du temps mort inutile. Lorsqu'une idée est suffisamment développée, un nouvel évènement nous transporte dans une autre situation qui assure une certaine chronologie bien rythmée et intéressante à suivre.
Si toutefois son histoire ne vous accroche pas autant que moi (c'est bien possible, je préfère vous rappeler son manque d'originalité), vous pourrez probablement vous satisfaire avec le casting savoureux de Forever Young. Dans le rôle principal, on a un Mel Gibson bien en forme qui ne manquera pas de nous faire sourire. Effectivement, il apporte à son personnage de Daniel McCormick une touche amusante et décontractée qui s'agence à merveille avec le divertissement pop corn du long-métrage! Pour le rôle féminin de soutient, nulle autre que Jamie Lee Curtis, une actrice qui a autrefois eu une filmographie beaucoup plus intéressante que ses récentes comédies ratées à la Freaky Friday! D'accord, amateur de l'horreur comme je suis, cette femme restera pour moi la Scream Queen de la franchise Halloween, mais il n'en reste pas moins qu'elle sait faire davantage. Sinon, il est toujours amusant de voir le petit Frodon de Lord Of The Rings alors qu'il avait réellement la taille d'un hobbit! Le plus beau dans tout ça, c'est que ce cher Elijah Wood offre une performance aussi charmante que agréable, contrairement à plusieurs enfants vedettes de cet âge.
En dehors de tout ça, j'ai trouvé fort amusant la façon dont le personnage de Gibson découvre peu à peu les nouveautés technologiques des années 90 qui n'existaient pas à son époque. C'est un concept qui a déjà été exploité dans de nombreux films, mais j'avoue apprécier beaucoup comment Steve Miner réussit à être si intéressant malgré ce manque d'innovations. Et puis, au fond, ce film n'avait pas besoin d'être si ingénieux après tout!
Finalement, je ne sais pas du tout si je devrais le recommander. C'est un film qui ne plaira pas à tout le monde, ça c'est certain. La majorité trouvera probablement que Miner abuse trop de clichés et d'idées tirées par les cheveux. Encore une chance que je ne vous raconte pas la fin: je vous laisse l'anticiper comme moi une vingtaine de minutes à l'avance... En d'autres mots, visionnez-le donc afin de vous faire votre propre opinion et revenez me donner vos feedback! Malgré tout, bien oui! Forever Young m'a charmé. Même qu'à chaque visionnement, je l'apprécie toujours autant et il fait ressortir le côté nostalgique au fond de moi. Je n'y peux rien et je dois avouer que, personnellement, Forever Young est un excellent film de soirée!
Nous sommes en 1939. Du moins, pas pour longtemps. Ne pouvant plus supporter de voir sa femme dans le coma suite à un accident, le pilote Daniel McCormick accepte de participer à l'expérience de cryogénisation de son ami. Son corps est donc congelé dans une machine à très basse température comme l'expérience le demande. La seule contrainte de McCormick est de tout arrêter et le décongeler lorsque sa femme ira mieux, si son état ne se détériore pas. Pourtant, ce n'est qu'en 1992 que le corps du pilote sera involontairement décongelé par deux enfants, soit près de 50ans plus tard!
Steve Miner est un réalisateur que j'ai toujours apprécié pour sa filmographie horrifique incluant des sequels incontournables du slasher movie tels que Friday The 13th Part II, Part III ainsi que Halloween H2O: 20 Years Later. Malgré tout, je n'avais encore rien découvert de ce réalisateur parmi ses films non-horrifiques. Du moins, c'est ce que je croyais jusqu'à ce que j'apprenne qu'il a quelque chose à voir avec Forever Young! J'ai toujours aimé ce film, mais jamais je n'aurais cru que ça pouvait venir du même homme qui a nous a offert le tueur en série Jason Voorhees que nous connaissons aujourd'hui. Disons que c'est plutôt surprenant à découvrir pour quelqu'un qui s'était habitué aux boogeymen!
Pourtant, Forever Young s'avère être une excellente comédie-romantique. Certes, aussi kitsch et prévisible que toutes les autres, mais celle-ci possède un je-ne-sais-quoi de captivant. Forever Young est définitivement un film touchant qui nuance parfaitement le drame de l'humour. Je ne garantie pas ici que l'on pleure toutes les larmes de son corps tout en éclatant de rire! C'est à prendre avec des pincettes. Disons simplement que ce long-métrage sait présenter les choses. Particulièrement avec la merveilleuse vie amoureuse du jeune couple qui est présentée au tout début!
En faite, là où Forever Young marque beaucoup de points, c'est justement dans l'efficacité avec laquelle le réalisateur montre ce qu'il y a à montrer, sans tomber dans l'excès. Jamais le film ne s'éternise dans du temps mort inutile. Lorsqu'une idée est suffisamment développée, un nouvel évènement nous transporte dans une autre situation qui assure une certaine chronologie bien rythmée et intéressante à suivre.
Si toutefois son histoire ne vous accroche pas autant que moi (c'est bien possible, je préfère vous rappeler son manque d'originalité), vous pourrez probablement vous satisfaire avec le casting savoureux de Forever Young. Dans le rôle principal, on a un Mel Gibson bien en forme qui ne manquera pas de nous faire sourire. Effectivement, il apporte à son personnage de Daniel McCormick une touche amusante et décontractée qui s'agence à merveille avec le divertissement pop corn du long-métrage! Pour le rôle féminin de soutient, nulle autre que Jamie Lee Curtis, une actrice qui a autrefois eu une filmographie beaucoup plus intéressante que ses récentes comédies ratées à la Freaky Friday! D'accord, amateur de l'horreur comme je suis, cette femme restera pour moi la Scream Queen de la franchise Halloween, mais il n'en reste pas moins qu'elle sait faire davantage. Sinon, il est toujours amusant de voir le petit Frodon de Lord Of The Rings alors qu'il avait réellement la taille d'un hobbit! Le plus beau dans tout ça, c'est que ce cher Elijah Wood offre une performance aussi charmante que agréable, contrairement à plusieurs enfants vedettes de cet âge.
En dehors de tout ça, j'ai trouvé fort amusant la façon dont le personnage de Gibson découvre peu à peu les nouveautés technologiques des années 90 qui n'existaient pas à son époque. C'est un concept qui a déjà été exploité dans de nombreux films, mais j'avoue apprécier beaucoup comment Steve Miner réussit à être si intéressant malgré ce manque d'innovations. Et puis, au fond, ce film n'avait pas besoin d'être si ingénieux après tout!
Finalement, je ne sais pas du tout si je devrais le recommander. C'est un film qui ne plaira pas à tout le monde, ça c'est certain. La majorité trouvera probablement que Miner abuse trop de clichés et d'idées tirées par les cheveux. Encore une chance que je ne vous raconte pas la fin: je vous laisse l'anticiper comme moi une vingtaine de minutes à l'avance... En d'autres mots, visionnez-le donc afin de vous faire votre propre opinion et revenez me donner vos feedback! Malgré tout, bien oui! Forever Young m'a charmé. Même qu'à chaque visionnement, je l'apprécie toujours autant et il fait ressortir le côté nostalgique au fond de moi. Je n'y peux rien et je dois avouer que, personnellement, Forever Young est un excellent film de soirée!
Julien English
4.5/5
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